(BFI) – L’Afrique, de manière générale, est au cœur de la politique d’aide au développement des partenaires bilatéraux et multilatéraux parmi lesquels les agences du système des Nations unies. La récente validation du Plan cadre révisé de coopération avec le gouvernement témoigne de l’intérêt que représentent ces appuis au développement pour des pays comme le nôtre.
Salutaires dans un contexte de crise financière ayant mis à mal l’exécution de plusieurs projets d’intérêt commun, les contributions de ce mécanisme de financement sont d’un apport considérable. Bien plus encore en ce moment précis où l’appel à la mobilisation des fonds destinés à financer les priorités du Plan national de développement 2022-2026 bat son plein.
Ce Plan vise, entre autres, à améliorer les conditions de vie des Congolais qui en attendent les retombées. Bâtir à partir de cette vision une économie forte, diversifiée et résiliente appelle cependant à une synergie entre les pouvoirs publics, la société civile et l’ensemble des acteurs de l’économie.
Comme le réitèrent les partenaires, il importe de traiter en priorité les situations de fragilité macroéconomique en garantissant la bonne gouvernance qui ne remet pas en cause les objectifs des aides apportées.
De même, des efforts sont également attendus en matière d’éducation et de formation professionnelle, d’actions pour ralentir les effets des changements climatiques, de résolution des problèmes de santé et d’emplois décents considérés, à juste titre, comme des préoccupations des temps présents et futurs. Aux grands maux les grands remèdes, dit le proverbe.
