(BFI) – Mercredi 6 juillet 2022 a eu lieu le lancement de la deuxième Mission économique et commerciale en Afrique centrale (MEAC). Conjointement organisé par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) avec le soutien des autorités publiques en l’occurrence le ministère du Commerce, ce rendez-vous du donner et du recevoir a mis en relation 110 entreprises locales et 81 acteurs économiques issus d’une trentaine de pays francophones.
5 mois après la tenue de la première Mission économique et commerciale de la Francophonie qui a eu lieu en Asie du Sud-Est qui a réuni 520 entrepreneurs et acteurs économiques provenant de plus de 20 pays de l’espace francophone, l’Organisation internationale de la Francophonie a mis le cap sur l’Afrique centrale où s’est déroulé la deuxième Mission du genre. Libreville et Kigali abriteront l’événement respectivement du 6 au 8 et du 11 au 13 juillet prochain.
Pour le compte du Libreville, c’est Geoffroi Montpetit, Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie, qui a la lourde charge de conduire les activités. Cette seconde mission a été l’occasion de renforcer les réseaux entre 110 entreprises locales et 81 entités économiques en provenance d’Afrique, d’Amérique du Nord, d’Asie, de l’Europe, du Proche-Orient et de l’océan Indien, dans les filières suivantes: l’Agro-industries, énergies renouvelables biens et services numériques.
Après 48 heures de travail à Libreville au Gabon, les participants de la mission économique et commerciale de la Francophonie en Afrique centrale se retrouveront à Kigali au Rwanda.
À ce propos, le premier responsable de l’OIF a rappelé l’enjeu autour de cette deuxième mission sur l’écosystème entrepreneurial dans la sous-région. « L’enjeu principal c’est la francophonie économique. C’est développer cet espace pour nos 88 pays États et gouvernements membres. La francophonie c’est plus de 350 millions de locuteurs francophones à travers le monde […] Nous espérons qu’ils signeront des relations d’affaires et des ententes commerciales avec leurs partenaires gabonais », a souligné Geoffroi Montpetit.