(BFI) – Le ministre des Transports, Rotimi Amaechi, a proposé 205 milliards de nairas (300 milliards FCFA) comme budget d’investissement pour 2021 afin de permettre au ministère de faire des progrès significatifs sur tous ses projets en cours.
Rotimi Amaechi l’a fait savoir dans une déclaration aux journalistes, lors de sa présentation devant le Comité mixte du Sénat et de la Chambre des représentants sur les transports terrestres et maritimes à Abuja. « L’appropriation totale du capital du ministère pour 2020 est de 70 milliards de nairas (102 milliards FCFA), le transport terrestre à 69,6 milliards de nairas, 698 millions de nairas (plus de 1 milliard FCFA) pour le transport maritime. Sur ce montant, 36 milliards de nairas (52,5 milliards FCFA), représentant 51,49%, ont été débloqués à ce jour avec le transport terrestre ayant environ 35 milliards de nairas (51 milliards FCFA) et maritime avec 90 millions de nairas (plus de 131 millions FCFA), ont été utilisés au 2 novembre. 2020. De plus, la somme de 245 millions de nairas a été affectée aux frais généraux, dont 177 millions de nairas (258 millions FCFA) ont été débloqués, la somme de 158 millions de nairas (230 millions FCFA) du montant débloqué a été dépensée au 28 octobre 2020 », a indiqué le ministre des Transports, Rotimi Amaechi.
« Le ministère propose un budget d’investissement total de 205 milliards de nairas (300 milliards FCFA) avec des estimations de transport terrestre de 204 milliards de nairas (297 milliards FCFA), des estimations de transport maritime de 845 millions de nairas (1,2 milliard FCFA) et des frais généraux de 358 millions de nairas (522 millions FCFA) dans le budget 2021. Les buts et objectifs de ces propositions sont de réaliser des progrès significatifs sur tous les projets en cours. Et pour compléter et fournir des services ferroviaires modernes qui fourniront un système de transport alternatif efficace et rentable pour la croissance économique et les opportunités de création d’emplois pour les citoyens », a déclaré Amaechi.
Selon lui, l’Institut nigérian de technologie des transports (NITT) et la Nigeria Railway Corporation (NRC) sont entièrement financés par le budget national. Face à la presse, le ministre a indiqué que l’Autorité nationale des voies navigables (NIWA), l’Académie maritime et le Conseil pour la réglementation du transport de marchandises (CRFFN) tiraient leur financement à la fois du budget national et des revenus générés en interne (IGR).
Il a toutefois indiqué que trois des agences relevant du ministère, à savoir le NPA, l’Agence nigériane d’administration et de sécurité maritime (NIMASA) et le Conseil nigérian des expéditeurs (NSC), s’autofinançaient pleinement et effectuaient des versements raisonnables au fonds consolidé des recettes.