(BFI) – L’entreprise Orange Cameroun, leader de la téléphonie et acteur majeur de la musique Camerounaise, a organisé hier 6 juin 2022, à Douala la capitale économique, une rencontre presse avec ses partenaires culturels. Il s’agissait pour l’entreprise de faire un bilan non exhaustif des deux décennies passées à soutenir la culture camerounaise et se projeter vers l’avenir.
En prélude à la fête de lamusique qui se célèbrera le 21 juin prochain, Orange Cameroun, acteur majeur de la musique au Cameroun, a mobilisé ses partenaires culturels autour d’une rencontre de presse pour dérouler le programme de cette grande messe de la musique dont elle a la particularité d’accompagner depuis 20 ans.
La rencontre a connu la participation de plusieurs groupes culturels entre-autre l’institut Français du Cameroun (IFC), Star News Urban Hit Show (SNUHS), l’association Ubuntu, Kinaya Ventures, Meta Africa, Digster, etc… tous venus rendre un vibrant hommage à Orange Cameroun pour son soutien sans faille de la musique camerounaise.
Pour cette 40e édition de fête de la musique, Orange Cameroun a renouvelé sa promesse à soutenir la musique en apportant une valeur ajoutée conséquente aux acteurs principaux. Pour Orange Cameroun, l’artiste musicien considéré comme acteur principal de la musique est d’abord une marque et en tant que tel il répond à un public client et se meut dans un environnement très évolutif. Parvenu à l’ère du digital, ce public a généralement accès à un flux de propositions musicales via des médias classiques, les téléphones et les ordinateurs. Orange s’engage donc à former les artistes pendant trois jours sur le marketing digital artistique, la création des contenus et la prise en main de quelques plateformes camerounaises de monétisation des contenus.
« Si l’industrie du disque et les entreprises s’appuient sur le digital pour atteindre une audience conséquente, nos artistes musiciens doivent s’arrimer à cette vague pour en tirer autant de bénéfices que possible » indique Emmanuel Etia, Directeur de Orange Digital Center, qui a pris l’engagement d’accompagner les artistes musiciens dans la formation aux métiers du numérique pour une meilleure employabilité.
Il s’agit, selon Emmanuel Etia, de donner aux artistes musiciens un savoir-faire et une logistique numérique nécessaire pour pouvoir se vendre sur le marché à travers les circuits de distribution numérique et bénéficier des gains substantiels. « Nous comptons pour cette édition outiller nos artistes des compétences les plus utiles pour s’introduire dans ce monde » a-t-il conclu.
André Noir
