(BFI) – Les travaux du secteur minier, dont l’objectif est la redynamisation des actions de la Chambre des mines afin de renforcer son influence dans les décisions concernant le secteur, se poursuivent. La clôture de ces assises qui se tiennent à Kinshasa depuis le 18 octobre interviendra ce 20 octobre.
A l’ouverure des travaux, au nom de la ministre des Mines, Antoinette N’Samba Kalambayi, le directeur de cabinet, Michel Kibonge, se référant au thème « L »activité minière en RDC et ses défis: l’évaluation du Code minier révisé en 2018″, a rappelé la disponibilité de la ministre, toujours attentive aux questions liées aux ressources naturelles dans le pays, qui s’est engagée à changer les choses au profit de la population. Il a ensuite concentré son allocution sur le fait que le gouvernement, via le ministère des Mines, est engagé dans la dynamique de poursuivre les mesures d’application de la mise en œuvre des dispositions des documents de référence dans le secteur, citant notamment le Code minier et ses mesures d’application sans failles.
Les applications de ce document portent sur l’insertion du volet social de l’exploitation minière, précisément en ce qui concerne les dispositions et les modalités d’octroi des permis d’exploitation, la participation des personnes physiques de nationalité congolaise au capital social et à la garantie de la stabilité. Il a, par ailleurs, saisi cette occasion pour encourager et demander aux experts participant à ce forum minier de réfléchir, d’analyser tout ce qui sera évoqué en apportant des contributions dans le but d’élever et de changer sensiblement le niveau de vie des Congolais qui comptent beaucoup sur le président de la République et son gouvernement.
Le changement positif, a déclaré le directeur de cabinet, ne peut se réaliser qu’en donnant des propositions durant les travaux. » Cela dépend de l’avenir et la survie de la nation », a t-il insisté. Enfin, Michel Kibonge, au nom de la ministre Antoinette N’Samba Kalambayi, a déclaré ouvert le forum de l’activité minière en République démocratique du Congo (RDC) et ses défis sur l’évaluation du Code minier révisé en 2018.
Placide Onguéné