(BFI) – Engagement et proximité. Tel est le slogan du nouveau partenariat entre Bgfibank Cameroun et la Société de développement du coton (Sodecoton). Une rencontre dite stratégique entre Abakal Mahamat, directeur général de Bgfi Bank et celui de la Sodecoton s’est tenue récemment à Garoua. Elle s’inscrit dans le cadre de la tournée de présentation des vœux de la banque à ses clients.
En tant qu’acteur clé du développement économique et social dans la région septentrionale du pays, cette visite a été l’occasion de faire le point sur leur collaboration en 2024 et aborder les défis rencontrés. L’autre objectif était de recueillir les besoins et projets de Sodecoton pour 2025 et les années à venir.
Il était aussi question d’étudier ensemble les possibilités de financement des prestataires de l’entreprise, renforcer la proximité avec ce client majeur, qui impacte plus de 3 millions de familles grâce à ses 2 000 employés permanents et 3 000 saisonniers, tout en apportant son soutien aux initiatives de l’État en faveur du développement économique et social.
La visite intervient au lendemain de la retraite stratégique des cadres dirigeants du groupe Bgfibank à Douala. Elle est conforme à la stratégie d’entreprise du groupe Bgfi Holding adoptée le 17 décembre 2020 par son Conseil d’administration. D’après celle-ci, la démarche qualité s’impose comme un véritable outil au service de la satisfaction du client.
Cela passe par l’amélioration et l’optimisation permanentes de l’organisation. Selon cette logique, le projet sus évoqué vise la croissance dans les 5 piliers qui en constituent les fondements à savoir : assurer le développement du groupe, la maîtrise des risques, le renforcement de la gouvernance, la garantie des ressources et la transformation du capital humain.
Depuis janvier 2021, Bgfi dit avoir mis le cap sur ce nouveau projet qui doit conduire vers le renforcement de la croissance et la rentabilité de son groupe. En quête de performance, la conjonction de ces piliers favoriserait l’optimisation des ratios clés de la gestion prudentielle que sont la solvabilité, la rentabilité, la productivité et le coût du risque. Il s’agit notamment du défi règlementaire, celui de la technologie et de la concurrence, de la courbe des taux et la dégradation des marges, de l’image, de la fiabilité et de la sécurité, et de l’efficience de l’organisation, de la gouvernance et de la taille du groupe.