(BFI) – Pour une PME, la gestion de la trésorerie est un défi quotidien. Entre les délais de paiement parfois très longs, les besoins d’investissement ou de fonctionnement, et la nécessité de préserver de bonnes relations avec ses partenaires, il devient essentiel de trouver des solutions innovantes pour optimiser son cash sans heurter la confiance de ses clients ou fournisseurs.
Les options classiques d’obtention de trésorerie
Traditionnellement, les entreprises disposent de plusieurs leviers pour renforcer leur trésorerie :
- Découvert bancaire : Solution rapide mais coûteuse, le découvert permet de pallier des besoins ponctuels, au prix d’intérêts élevés et d’une exposition à des sanctions en cas de dépassement.
- Crédit bancaire : Bien que plus structurant, le crédit reste difficile d’accès pour de nombreuses PME, notamment celles qui manquent de garanties solides ou d’un historique bancaire rassurant.
- Affacturage traditionnel : Cette technique consiste à céder ses créances à un organisme spécialisé qui avance le montant des factures, moyennant une commission. Cependant, les conditions d’accès sont souvent strictes, et les procédures administratives lourdes.
- Escompte de factures : Ici, la banque avance le montant d’une facture à régler par un client, en échange d’un intérêt. Là encore, l’accès dépend de la solidité financière de l’entreprise et de la qualité du débiteur.
Ces solutions, bien qu’efficaces dans certains contextes, présentent des limites : coût élevé, rigidité, délais de mise en œuvre, et parfois une dégradation de la relation avec les partenaires si la pression sur les paiements devient trop forte.
Le délai de paiement : un casse-tête pour les PME
Dans de nombreux secteurs, les délais de paiement s’étendent sur 30, 60, voire 90 jours, voire plus. Pour une PME, cette attente peut s’avérer fatale :
- Tensions de trésorerie : L’entreprise doit continuer à payer ses charges (salaires, fournisseurs, impôts) alors que l’argent des ventes tarde à rentrer.
- Frein à la croissance : Sans cash disponible, il devient difficile d’investir, de répondre à de nouvelles commandes ou de saisir des opportunités de marché.
- Relations fragilisées : Faire pression sur ses clients pour obtenir un paiement rapide peut nuire à la confiance et à la fidélité, voire entraîner la perte du client.
Ce phénomène est particulièrement marqué en Afrique, où l’accès au financement est limité et où les cycles de paiement sont souvent longs et incertains. Les PME, moteurs de l’économie locale, se retrouvent alors piégées dans un cercle vicieux : manque de cash, impossibilité de croître, vulnérabilité face aux imprévus.
C’est dans ce contexte que la méthode Yellow se distingue, en proposant une alternative moderne et souple à la gestion de trésorerie, adaptée au tissu économique africain.
La méthode Yellow : une solution innovante et respectueuse
Yellow est une fintech camerounaise spécialisée dans la gestion des créances commerciales. Sa mission : simplifier l’accès à la trésorerie immédiate pour les PME, sans exiger de garanties ni imposer de pression sur les partenaires. Alors que l’entreprise cède à Yellow ses factures clients en attente de paiement, en moins de 72 heures, Yellow avance le montant des factures, moyennant une commission transparente. En plus, Yellow prend en charge le suivi et le recouvrement des créances, protégeant la PME du risque d’impayés.Tout se fait en ligne, depuis un smartphone ou un ordinateur, sans paperasse inutile.
L’exemple de l’adoption de Yellow par Les Fermes d’Afrique illustre parfaitement la valeur ajoutée de la méthode Yellow : permettre aux PME de se concentrer sur leur développement, sans sacrifier la relation avec leurs clients ni subir les aléas du crédit bancaire.
